Au Québec, depuis 1961, le gouvernement alloue 1 % du budget de construction d’un site public afin d’encourager les arts et d’embellir les lieux d’une œuvre conçue pour « s’harmoniser à l’architecture, aux espaces intérieurs ou extérieurs, à la vocation des lieux et au type d’usagers ».
À Saint-Hippolyte on peut compter quatre de ces œuvres importantes.
- La joute, François Lauzon (1962), agencement des briques de la façade d’un mur extérieur du bâtiment qui représente des personnages pratiquant des sports. Murale toujours visible dans un corridor menant au gymnase, maintenant à l’intérieur de l’école.
- La savante conquête des connaissances humaines, de la terre jusqu’au ciel créée en 1985, en même temps que le Centre éducatif des Hauteurs.
- Entre les lignes est l’œuvre de Marcel Saint-Pierre qu’on retrouve dans le salon de lecture à la bibliothèque municipale, dont nous parlerons plus loin (voir station 14, la bibliothèque).
- Enfin, Bassin versant, une œuvre de Frédéric Saïa installée au Centre des loisirs et de la vie communautaire depuis septembre 2018. Elle évoque « les reliefs naturels montagneux environnants et par son bleu, les eaux qui les dévalent, ruisselantes ». Centre des loisirs et de la vie communautaire.